Un autre regard sur l’investissement
Visite guidée
Situons tout d’abord le programme. Construit sur la côte Est de l’île Maurice, il s’étend sur six kilomètres de rivage sur le plus grand lagon de l’île, en face de l’Île aux Cerfs, considérée comme l’une des plus belles plages du monde ; et comprend les hôtels Four Seasons et Anahita et le golf USGA 18 trous créé par Ernie Els. Il propose un hébergement en appartements ultramodernes de 180 à 240 m2 et en villas de 237 à 634 m2.
Les uns et les autres partagent la même architecture contemporaine, une décoration à l’avenant, de grands volumes clairs et des vues reposantes sur l’Océan indien ou le golf.
Chaque villa ou appartement dispose d’une grande cuisine dans laquelle chacun peut à loisir gérer ses menus ou les confier à un cuisinier ou un majordome, à moins de préférer les services du room-service ou du restaurant situé entre la plage et l’embarcadère.
En cela déjà l’approche de l’Anahita se distingue de celle des autres hôtels de luxe de l’île : l’établissement offre le choix entre les prestations habituelles d’un palace ou une approche plus lifestyle permettant de vivre et recevoir dans l’environnement d’un resort haut de gamme, en appartement ou en villa, en s’appropriant l’endroit comme on le ferait d’un bien immobilier en toute propriété. Une démarche d’autant plus naturelle que plus de la moitié des constructions est vendu à une clientèle soucieuse de disposer d’une propriété de vacances sans les soucis qui vont avec. L’idée est de permettre aux clients de se sentir chez eux en bénéficiant des services d’un hôtel 4 étoiles. Plus qu’une idée, un véritable état d’esprit, impalpable mais bien concret, dont on ne peut vraiment mesurer l’essence qu’en le vivant.
En parcourant les allées propres comme un décor de cinéma on se demande qui achète ici ? Réponse : peu de Mauriciens, surtout des Européens et notamment des Français. Attirés par la douceur de vivre légendaire de Maurice, par le site enchanteur, le concept novateur, la qualité des villas, et les possibilités de défiscalisation qui les accompagnent.
A l’heure où le gouvernement français ne sait plus qu’elle nouvelle taxe imaginer pour inviter ses administrés à participer à la gabegie de la dette publique, les perspectives qu’offre Maurice sont il est vrai bien séduisantes.
Ceux qui sont habitués à de tels espaces (entre 237 et 634 m2 !) se sentiront immédiatement comme chez eux, les autres auront l’impression de vivre dans le décor d’un film glamour ou d’une série télé tant tout ici est spacieux, clair et lumineux.
Avec un taux d’imposition de 15% seulement, tant sur le revenu que sur les bénéfices des sociétés, pas d’impôt sur la fortune ni de droits de succession, Maurice apparaît comme un havre de douceur de vivre au regard des contraintes fiscales de beaucoup de pays occidentaux. Aussi lorsqu’il s’accompagne d’un statut de résident, l’achat d’une villa se présente comme un placement intéressant à plus d’un titre. Le Groupe Ciel, l’un des plus grands conglomérats de l’île, à qui appartient le resort, possède ainsi une branche particulière pour le conseil aux acheteurs étrangers. Ici des équipes de spécialistes expliquent aux ressortissants de tous les pays les raisons pour lesquelles Maurice se trouve aujourd’hui classé 20ème pays du monde, et 1er en Afrique, par le rapport Doing Business de la Banque Mondiale évaluant les pays en fonction de leur facilité à faire des affaires. Ces mêmes équipes les aident aussi dans toutes les démarches administratives et financières de création de sociétés.
La légèreté de la fiscalité n’est cependant pas le seul attrait des villas de l’Anahita. La qualité de l’investissement qu’elles représentent laisse également rêveur : on a ainsi assisté cette année aux premières reventes de villas achetées 2 millions d’euros il y a trois ans. Alors que les dernières tranches de construction ne sont pas encore sorties de terre, elles se négocient aujourd’hui sur la base de 5 millions de dollars, soit 3,86 millions euros.
La première tranche du programme prévoit 28 villas au bord des fairways (de 330 à 485 m2, à partir de 1,62 MÄ) et 12 sur les fairways (idem, à partir de 1,54 MÄ), sur lesquelles quatre restaient à vendre à l’heure où nous bouclions ce numéro. A terme, le programme prévoit 325 villas, dont plus de 80% seront vendues. Par ailleurs très présent dans les métiers de l’immobilier et de la gestion d’actifs, le Groupe Ciel a conçu pour ses clients un moderental pool beaucoup moins contraignant que ce que l’on observe généralement par ailleurs : ici le propriétaire dispose de sa villa 60 jours par an (contre 15 ou 20 habituellement) et en confie la gestion à une management company qui la loue le reste de l’année et lui rétrocède un pourcentage. Sauf à choisir de s’installer ici (une solution vers laquelle se sont tournés plusieurs propriétaires, qui ont déplacé leurs affaires de la vieille Europe jusqu’au tout nouveau pôle business de l’île, à Ebene), difficile de prévoir plus souple.
Seul domaine résidentiel de ce niveau en bordure de mer et en toute propriété, l’Anahita resort constitue bel et bien une offre unique à Maurice, une manière nouvelle d’appréhender l’île, le tourisme, les vacances, et jusque la gestion de son patrimoine. Ici, pour paraphraser Baudelaire nous pourrions écrire (nous ne serions pas les premiers) que tout n’est que luxe, calme et volupté. Une douceur de vivre de laquelle participe une armée de 400 employés discrets et souriants. Mais ce serait réducteur car cette description de l’Eden faillit à traduire une réjouissante faculté à joindre l’utile à l’agréable.
Photos Ciel Properties.