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Tout le charme des Highlands

Les collections Walker Slater recouvrent tout un univers, qui véhicule tout à la fois des valeurs intemporelles et une indiscutable poésie. Chantre du style écossais, Walker Slater enchante les sites et blogs spécialisés dans l’élégance masculine casual chic et nous invite au voyage romanesque. Son fondateur explicite ses fondamentaux.

Dandy : Si les produits Walker Slater sont souvent présentés dans nos pages, ceci est le premier article de fond que nous consacrons à la marque, aussi notre première question concerne son histoire : qui êtes-vous Paul Walker, qu’avez-vous fait avant et comment avez-vous créé la marque ? Et tout d’abord donc : qui êtes-vous, Paul Walker ?

Paul Walker : « Je suis un créateur de vêtements basé en Écosse, inspiré par l’histoire et le tweed, avec une passion pour la création des vêtements ayant un héritage et une pertinence.

Ensuite, que faisiez-vous avant de créer Walker Slater ?

Après avoir étudié l’art, j’ai fait une maîtrise en histoire et philosophie en Écosse.

Comment en avez-vous eu l’idée ?

En passant du temps pendant mes vacances d’étudiant dans les montagnes de Savoie, et en observant comment les vêtements «underground» achetés par la clientèle «dans le coup» pouvaient devenir la clé financière pour débloquer un mode de vie et permettre l’expression de soi pour les passionnés de ski et de snowboard, et me fournir un revenu.

Pourquoi ce nom ?

C’est celui de Frances Slater, la créatrice des premières pièces de la maison. Ses dessins reflétaient l’énergie et le dynamisme de la nouvelle scène extrême du ski et du snowboard de l’époque, et « Walker et Slater » sont devenus Walker Slater. Étant donné que nous sommes basés dans les Highlands, le tweed est devenu notre tissu de prédilection, et par conséquent le look est devenu plus sartorial, mais la fonction est toujours bien présente.

Vos vêtements ont deux caractéristiques principales : un, un style typiquement anglais, voire écossais, et deux : un prix très placé. Tout d’abord, le style : comment et pourquoi avez-vous choisi le style anglais, voire écossais ?

La sous-estimation y est pour beaucoup. L’Anglais est souvent « politiquement correct », l’Ecossais soit se réduit à un clin d’œil au minimalisme du calvinisme, soit peut aller dans l’autre sens, dans la direction plus exubérante de ce bon Prince Charles. J’aime le paradoxe, et particulièrement ce qui adapte ce que les Anglais considèrent comme correct en quelque chose de légèrement différent. C’est une façon d’être dérangeant mais respectueux et de demander aux gens de réfléchir à la fois à la tradition et au progrès.

Le style écossais est certainement légitime, puisque vous vivez à Édimbourg. Avez-vous toujours vécu là-bas ?

J’ai longtemps vécu ici, à Édimbourg, mais avant j’habitais dans les Highlands, dans un endroit appelé Coull Farm, à Laggan Bridge. C’est là que Walker Slater est né, en 1989, dans une étable reconvertie, avant de s’installer à Édimbourg en 2000.

Comment définiriez-vous le style de la marque ? Les tissus et les coupes en particulier.

Prendre quelque chose d’ancien et le rendre pertinent pour aujourd’hui. L’utilisation d’éléments de grande qualité et la recherche d’artisans passionnés par la production de qualité, pour créer quelque chose de spécial. Pour moi, les tissus sont des fibres naturelles et leur apparence est une question de texture et de couleur. En tant que marque, nous sommes très axés sur les tissus, qui constituent souvent une part importante du design. Cela dit, j’attache une grande importance à la silhouette, et nous nous efforçons constamment de travailler sur nos coupes pour que notre réputation tienne la route lorsque vous portez nos vêtements, et que vous ayez l’air sophistiqué.

Quel est alors le processus de la marque ? Nous savons que vous avez votre bureau de design à Édimbourg : y travaillez-vous vous-même ; en donnez-vous la direction ?

Oui, et je suis heureux de diriger le design. Nos studios se trouvent dans un ancien bâtiment de tannerie, à l’arrière de notre magasin de Victoria Street. La vieille ville d’Édimbourg remonte à plusieurs centaines d’années, et c’est un privilège d’avoir une cour et un jardin secret, qui est merveilleux pour choisir les couleurs et les tissus en fonction de la lumière naturelle et des nuances de la pierre et des éléments naturels.

Où faites-vous fabriquer vos produits ?

Nous fabriquons nos vêtements dans le nord du Portugal, nos articles en cuir et nos chemises en coton en Italie, et bien sûr la plupart de nos tweeds en Écosse. Pour certains de nos vêtements en coton et nos vêtements d’extérieur, nous travaillons avec un fabricant à Istanbul, et pour les tricots à l’île Maurice. J’aime le fait que nous ayons développé des partenariats de longue date avec nos fournisseurs, et j’ai personnellement visité chacun d’entre eux pour m’assurer que je suis satisfait de toutes les conditions, et bien sûr de la qualité.

Où et auprès de qui achetez-vous vos tissus ?

A des tisserands des frontières de l’Écosse et de l’île de Lewis et Harris, et de Donegal en Irlande. Des fabricants en Italie nous fournissent toujours nos chemises en coton, certaines flanelles et des soies imprimées. Et je suis également heureux de travailler avec une filature de laine dans la zone frontalière des collines entre le Portugal et l’Espagne.

Quels sont les tissus que vous préférez ?

Ceux qui ont une profondeur de couleur et de texture, avec une douceur et une durabilité. Des tissus qui ont une certaine présence, mais qui peuvent être drapés en quelque chose que vous pouvez porter plutôt qu’ils ne vous portent.

Ensuite, la deuxième grande caractéristique, qui sous-tend la personnalité de la marque : les photos de vos campagnes racontent des histoires. Comme des films. Et c’est extraordinaire parce que vous emmenez les lecteurs (et les lectrices, puisque Walker Slater est mixte) dans ces histoires, et dans votre univers. C’est un monde de gentlemen et de ladies contemporains (on est plus dans le trip Kate ou Pippa Middleton que dans celui des vieilles rombières) auquel on peut facilement s’identifier, et dans lequel on a envie d’entrer.

Vos collections, les décors pour les prises de vues et vos modèles, contribuent également à cet univers, qui est assez irrésistible selon nos critères. Est-ce votre photographe ou vous-même qui trouvez les lieux de tournage, et si c’est votre photographe, comment l’avez-vous rencontré, et comment travaillez-vous ensemble ?

En général, c’est moi qui choisis les lieux, mais il faut bien sûr que le photographe voie les angles et le potentiel de choix, et qu’il capture quelque chose qui a le sentiment que nous recherchons. Kewin Connin Jackson est venu nous voir il y a quelques années pour nous emprunter des vêtements pour un tournage qu’il voulait faire dans les Highlands. J’ai été impressionné par ses idées et le travail qu’il m’a montré, et j’ai été heureux d’y participer. Nous n’avons jamais regardé en arrière depuis et nous aimons travailler ensemble. Lorsqu’il est en France, Kewin choisit les endroits qu’il aime et j’ai toujours été satisfait de ses choix et, bien sûr, des résultats.

Vous êtes également présent au Pitti Uomo, qui est la nouvelle Mecque des grands élégants du monde (et des réseaux sociaux), notamment à travers deux de ses figures les plus exposées : Guillaume Bo et Franco Mazzetti. Et à ce titre, vous êtes le seul représentant de l’élégance britannique à être aussi présent et aussi exposé. Quelle a été votre approche du Pitti Uomo et de cette clientèle particulière de néo-dandys ?

Notre approche a été d’essayer d’apporter un peu « d’écossaiserie sartoriale » à travers l’élévation du tweed, et de le montrer comme un tissu aujourd’hui pertinent, en prenant la responsabilité de le réinventer d’une façon dans l’air du temps. Je voulais le sortir de son ancienne image, celle d›un vêtement porté par les générations précédentes, pour le transformer en un vêtement sartorial, élégant et moderne. Le Pitti nous donne l’occasion de présenter nos créations à un public international, or nous pensons que le tweed est pertinent pour tout le monde, partout, surtout là où on connait un hiver comme le nôtre en Écosse. Nous essayons d’atteindre cet objectif en sélectionnant de beaux tissus, des tissages intéressants, avec de la texture, et en créant des vêtements avec du style dans une silhouette moderne. Cette idée est ensuite approfondie par la façon dont nous présentons les collections dans les magasins et par nos séances photo.

Comment définiriez-vous ces deux clientèle, que sont d’une part les amateurs délégance classique des styles britannique et écossais, et d’autre part les néo-dandys européens et asiatique,s qui sont les clients du Pitti, que ce soit en présentiel ou via les réseaux sociaux ?

La véritable opportunité pour le client du Pitti est de découvrir comment nos vêtements peuvent être portés en total-look, qu’il s’agisse d’un costume ou d’un ensemble construit à partir d’un manteau ou d’une simple veste de tweed. Le Pitti permet également à l’équipe d’acquérir de l’expérience et d’explorer l’accès aux dandys internationaux. Nous espérons pouvoir parler à certains d’entre eux de ce que nous faisons et de ce qui leur semble important. Le Pitti est une grande chance pour Walker Slater et le tissu de tweed de faire parler de lui et de se connecter au monde qu’il habite.

Comment avez-vous vécu les 18 mois de Covid ?

C’était difficile au début, car notre nouveau magasin pilote pour homme n’était ouvert que depuis deux semaines, et comme il a été jugé «non essentiel» nous avons été obligés de le fermer. Ensuite, le fait de ne pas pouvoir voir ses amis a été difficile, mais nous traversions tous cette épreuve ensemble et cette solidarité nous a aidés. Cela m’a incité à me concentrer davantage sur les choses que nous pouvons faire pour nous améliorer et, grâce à cela, à faire voyager nos clients avec nous. J’ai notamment réorganisé l’entrepôt, puis réfléchi à la manière dont nous pouvons mieux développer notre image et communiquer nos valeurs. Heureusement, nos ventes en ligne nous ont tenus occupés et nous ont permis de nous remettre sur pied avec une certaine confiance en notre pertinence. Aujourd’hui notre nouveau site web va être lancé et nous sommes enthousiastes quant aux possibilités qui s’offrent à nous.

Quels sont vos projets pour l’avenir ?

Défendre la durabilité du tweed, car les tissus, s’ils sont entretenus, peuvent durer longtemps. Les choix de tissus, les couleurs délicates et les textures, se prêtent également à être combinés avec beaucoup d’autres choses, et le tweed a une durabilité qui ne demande qu’à être découverte. Ces choses incluent aussi bien les différentes textures portées avec le tweed que les différentes combinaisons de couleurs, et le client peut porter beaucoup de choses de notre collection pendant une longue période, pendant des années ! Il y a une réelle utilité à cela parce que cela réduit les déchets, ce dont j’espère que notre client prend conscience de par lui-même au fil du temps. »

https://www.walkerslater.com/

L’art de raconter des histoires

On aime beaucoup, dans la façon de communiquer de Walker Slater et les images de Kewin Connin Jackson, le photographe attitré de la maison, cet art précieux de savoir, à travers les personnages, les décors et l’ambiance qu’ils créent avec eux, raconter des histoires dans lesquels ils emmènent celui qui les regarde. Démonstration par l’exemple avec ces photos de la collection automne-hiver prises en France, en Angleterre et en Ecosse, qui nous invite dans leur univers aussi sûrement qu’un bon film et son making-of..

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All the charm of the Highlands

Walter Slater collections cover a whole universe, which conveys both timeless values and an indisputable poetry. Walker Slater is a champion of Scottish style, enchanting websites and blogs specialising in masculine casual chic and inviting us on a romantic journey. His founder explains his fundamentals.

Dandy: While Walker Slater products are often featured in our pages, this is the first in-depth article we’ve devoted to the brand, so our first question is about its history: who are you Paul Walker, what did you do before and how did you create the brand?

I am a clothing designer based in Scotland inspired by history and tweed with a passion for creating clothes with heritage and relevance.

Then, what were you doing before you created Walker Slater?

After studying Art foundation course, I went on to complete an MA in History and Philosophy in Scotland.

How did you get the idea?

From spending time during my student holidays in the mountains of Savoie and seeing how ‘underground’ clothing sold in the local bars to those in ‘the know’ could become the financial key to unlocking a way of life and allowing self-expression for those passionate about skiing and snowboarding by providing an income.

Why the name?

It is the one of Frances Slater, the designer of the first pieces of artwork in the collection. Designs that reflected the energy and dynamism of the then new extreme ski and snowboarding scene. Walker and Slater became Walker Slater. Being based in the Highlands, Tweed became the fabric of choice and accordingly the look became more sartorial but with function still firmly part of it all.

Secondly, your clothes have two main characteristics: ONE, a distinctly English, even Scottish, style, and TWO: a highly placed price point. First of all: the style. How and why did you choose the British style, or even the Scottish style?
Understatement is a big part of it. The English is often the ‘correct way’ the Scottish is either parred down with a nod to the minimalism of Calvinism or it can go the other way in a rather more exuberant Bonnie Prince Charlie direction. I enjoy paradox and I particularly enjoy something that adapts what is so what the English consider correct into something just slightly off that.It’s a way of being disruptive but respectful and asking people to think about both tradition and progress.

Well, the Scotch style is certainly legitimate, since you live in Edinburgh. Have you always lived there?

I’ve lived a long time here in Edinburgh but before lived in the Highlands in a place called Coull Farm, Laggan Bridge. It was there in 1989 that Walker Slater started in a converted cow byre, and then fully moved to Edinburgh in 2000.

How would you define it? Fabrics and cuts in particular.

Taking something with heritage and making it relevant for today. Using great quality ingredients and finding artisan makers with a passion for producing quality to make something special. For me the fabrics are natural fibres and their appearance is all about texture and colour. We are very fabric driven as a brand in that the fabrics are often a big part of the design. That said, I attach great importance to silhouette, and we are constantly striving to work on our fits to ensure our reputation stands up when you wear our clothes and looks sophisticated.

Then what is the brand’s process? We know you have your design office in Edinburgh: do you work there yourself; do you give its lead?

Yes, I am happy to lead the design. We have our studios in an old tannery building at the back of our stores in Victoria Street.The old town of Edinburgh goes back many hundreds of years, and it is a privilege to have a courtyard and secret garden. The garden is wonderful for choosing colours and fabrics in the natural light and against the shades of the stone and natural elements there.

Where do you have your products made?

We make our tailoring in Northern Portugal, leather goods and cotton shirting in Italy, and of course most of our tweeds here in Scotland.For some of our cotton and outerwear we work with a maker in Istanbul and for knitwear in Mauritius. I like the fact that we have developed long standing partnerships with our suppliers, and I have personally visited all of them to ensure I’m happy with all the conditions and of course the quality.

Where and from whom do you buy your fabrics?

We choose designs of weavers from the borders of Scotland and the Isle of Lewis and Harris. As well as Donegal in Ireland. Makers in Italy still provides us with our cotton shirting, some flannels and printed silks I am also happy to work together with a woolen mill in the hill border area between Portugal and Spain.

Which fabrics do you prefer?

I prefer fabrics that have a depth of color and texture to them, with a softness but durability. Fabrics that have a presence to them but that can be draped into something that you can wear rather than them wearing you.

Then the second great feature, which underpins the personality of the brand: the photos of your campaigns tell stories. Like films. And that’s extraordinary because you take the readers (and the women readers, since Walker Slater is mixed) into these stories, and into your universe. It’s a world of contemporary gentlemen and ladies (we’re more into the Kate or Pippa Middleton trip than old ladies) that we can easily identify with and want to enter. Your collections, the settings for the shots and your models also contribute to this universe, which is quite irresistible by Dandy magazine standards. Is it your photographer or yourself who finds the locations for the shoot, and if it is your photographer, how did you meet him, and how do your work together?

Generally, I choose the locations but of course it takes the photographer to see the angles and potential of the choice and capture something that has the feeling we are looking for. Kewin Connin Jackson came to us a few years ago to borrow some clothing for a shoot he himself wanted to do up in the Highlands.I was impressed by his ideas and the work he showed me so was happy to be part of it.We have never looked back since and have really enjoyed working together.When in France, Kewin chooses locations that he likes and I have always been happy with his choices and of course the results.

You are also present at Pitti Uomo, which is the new mecca for the world’s great elegants (and social networking sites), notably through two of its most exposed figures: Guillaume Bo and Franco Mazzetti. And as such, you are the only representative of British elegance to be so present and so exposed. What was your approach to Pitti Uomo and this particular clientele of neo-dandies?

Our approach has been one of trying to bring some sartorial Scottishness to the show through the elevation of tweed and showing it as a fabric that is now relevant by taking on the responsibility to reinvent it for today. I wanted to pull it out of its older image as being something a previous generation wore, to garments that are sartorial and elegant and modern for today. Pitti gives us a chance to showcase a our designs in a fabric like tweed to an international audience. We believe that tweed is relevant to everyone everywhere, especially if they experience a winter like we do in Scotland. We try and achieve this through selecting beautiful fabric, interesting weaves with texture and by creating garments with style in a modern silhouette. This idea is then taken further through how we present the collections in the stores and our photo shoots.

How would you define these two clienteles, which are on the one hand the classically elegant lovers of British and Scottish styles, and on the other hand the European and Asian neo-dandies who are Pitti “clients”, either in person or through social networks? (nationality, age, socio-professional categories, etc.)

There is the real opportunity for the Pitti client is to discover how the actual garments we design can then be styled together. Worn as a complete look through a suit or a look built via a tweed coat or just a tweed jacket. Pitti also gives the team experience and explore with the access to the international Dandy gentleman.We hope to be able to talk to some of them about what we do and what they feel is important. Pitti is a great chance for Walker Slater and the fabric of tweed to have a conservation about itself and the world it inhabits.

How did you experience the 18 months of Covid?

It was difficult when it first struck as our new flagship men’s store had been open just two weeks and then being deemed ‘non-essential’, we were forced to close. Then, not to be able to see friends in person was tough, but we were all going through this together and that solidarity helped. It has made me focus more on the things we can do to improve ourselves and through that our customers journey with us. This included re organizing the warehouse, then looking at how we can better develop our image making and communication of our values.Thankfully our web sales kept us busy and left us in a place where we can grow back from with some confidence of our relevance.We have a new website now about to launch and are excited for the possibilities that are ahead of us.

What are your plans for the future?

To champion the sustainability of tweed, as the fabrics if looked after can last for a long time. the choices of fabrics chosen and the delicate colours chosen, and  textures also lend themselves to be styled with many other things in many other ways tweed has a durability that is waiting to be discovered. We have found this discovery to be incredibly good fun. Those things include different textures worn with tweed as well as different colour combination.A client can get a lot of wear from our collection for a long period, literally years. There’s real utility in this as it reduces landfill and I hope that our client discovers this almost by himself over time.”

Our approach has been one of trying to bring some sartorial Scottishness to the show through the elevation of tweed

L’art de raconter des histoires

On aime beaucoup, dans la façon de communiquer de Walker Slater et les images de Kewin Connin Jackson, le photographe attitré de la maison, cet art précieux de savoir, à travers les personnages, les décors et l’ambiance qu’ils créent avec eux, raconter des histoires dans lesquels ils emmènent celui qui les regarde. Démonstration par l’exemple avec ces photos de la collection automne-hiver prises en France, en Angleterre et en Ecosse, qui nous invite dans leur univers aussi sûrement qu’un bon film et son making-of..

The art of storytelling

We love Walker Slater’s way of communicating and the images of Kewin Connin Jackson, the house’s official photographer, this precious art of knowing how to tell stories through the characters, the settings and the atmosphere that they create with them, taking the viewer along with them. This is demonstrated by the example of these photos of the autumn-winter collection taken in France, England and Scotland, which invite us into their universe as surely as a good film and its making-of.