Dandy 39
Ce premier numéro du nouveau millésime restera comme l’un des plus culte de l’histoire du magazine. Chacune des grandes rubriques qui articulent chaque numéro s’y voit en effet consacrée à une personnalité ou un objet culte.
En couverture John Malkovich. Difficile de faire plus culte que ce génial acteur capable de jouer tous les rôles, endosser toutes les casquettes. Pour Dandy il a accepté de se prêter au jeu d’une interview à bâtons rompus, bien loin des séances calibrées qu’affectionne Hollywood, et s’est soumis avec élégance à l’objectif de notre ami et photographe Stéphane de Bourgies, qui sait comme personne transcender la nature de ses sujets. Belle rencontre et photos mémorables, non ?
Culte, aussi : Salvatore Dali. La ville de Saint Petersburg, en Floride, lui consacre un musée. Et Dandy a obtenu l’autorisation exceptionnelle d’y photographier les œuvres exposées, afin de convier ses lecteurs à un voyage dans le temps en compagnie du plus excentrique des peintres modernes.
Culte également ; Nino Ferrer. Une sorte d’OVNI perdu au milieu du showbiz, qui l’a sacré star mais ne l’a jamais vraiment compris. Lui a suivi son chemin et livré ses plus beaux albums à la marge du système. L’œuvre qu’il laisse est aussi remarquable que méconnue du plus grand nombre. Retour sur la vie d’un dandy bien de son époque.
Culte encore, les lampes Perzel, qui font les beaux jours des puristes les plus exigeants depuis plus d’un demi-siècle. Quelle est leur histoire ? Sont-elles vraiment si différentes ? Et pourquoi ?Culte encore avec l’essai de la nouvelle Porsche 911, certainement l’une des voitures les plus marquantes du XXème siècle. En poussant ses propres qualités sans renier l’héritage, cette septième génération tient toutes ses promesses.
Culte toujours la Patek Philippe Nautilus. Une place à part depuis son lancement, il y a trente-cinq ans. Cela ne nous rajeunit pas.
Culte enfin, Lanvin ; une marque de haute couture française connue dans le monde entier, symbole d’élégance et d’excellence aujourd’hui comme hier. Ce qui n’empêche pas ce numéro de février-mars d’explorer d’autres plaisirs hédonistes, à déguster chez soi ou au cours d’une échappée belle. Laissez-vous enlever à la sinistrose ambiante ; l’édito du numéro s’intitule Carpe Diem. Puisqu’on vous le dit…