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Carl Gustaf : Dominant Gustavia

L’image de St Barth dans le monde entier

Perché sur la colline qui domine Gustavia, le Carl Gustaf offre une vue imprenable sur la ville aux toits rouges, le port et, au-delà l’océan. L’image des films, des brochures publicitaires, des livres de géographie, celle par laquelle les magazines people du monde entier présentent St. Barth. Découverte depuis les terrasses de l’hôtel, la capitale a des allures de maquette, propre et colorée – une image d’Epinal. A laquelle même les clients des autres cinq étoiles de l’île ne résistent pas, puisque depuis sa rénovation l’établissement s’est doté d’une terrasse d’inspiration coloniale où ils viennent dîner ou simplement prendre un verre, le regard ébloui par cette vue enchanteresse.

Fermé en 2013 et racheté par le groupe Barrière deux ans plus tard, l’hôtel a connu ensuite un long chantier de rénovation en profondeur, puis affronté les assauts d’Irma. Initialement programmée pour décembre 2019, sa réouverture a été reportée à mars 2020, et a donc finalement coïncidé avec le début de l’épisode Covid : on a connu de meilleures circonstances pour lancer une adresse aussi prestigieuse. Car de l’établissement hors du commun qu’il était initialement, le groupe français (Fouquet’s à Paris et Courchevel, Normandy à Deauville…) a fait un 5 étoiles hors normes, principalement caractérisé par sa vue imprenable, mais pas que. Seul hôtel parmi les établissements-stars de l’île à ne pas être installé sur une plage, il est aussi à proximité de la ville, et donc de tout : bars, restaurants, commerces, port, musée, monuments historiques, activités nautiques…

Parmi les innovations déterminantes apportées par la rénovation, l’ouverture à l’étage principal d’un grand balcon couvrant tout l’étage est la plus spectaculaire, puisque celui-ci ajoute au caractère de l’hôtel et permet de s’installer et de profiter de la vue dans un style New Orleans qui fleure bon les Etats du Sud américain. Pour autant, choisir la vue imprenable du Carl Gustaf ne signifie pas se passer de plage, et a fortiori de restaurant les-pieds-dans-l’eau : l’établissement a passé un accord avec le Shellona, construit sur la plage du même nom, au pied de la colline. On le gagne à pied en une dizaine de minutes, ou en trois minutes en voiture, et on y déguste une large variété de poissons, crustacés et viandes dans une ambiance digne de St Tropez. Cerise sur le gâteau : l’école primaire de l’île jouxte le restaurant et on se prend à rêver un instant lorsque, quittant celui-ci après un bon repas, on découvre les parents venus chercher leurs chères têtes blondes en scooter ou en petit 4×4 découvert, vêtus de tenues légères et exprimant tous une camaraderie et une bonne humeur manifestes – signes extérieurs de qualité d’une vie caraïbe enviable.

On peut varier les plaisirs de la plage en optant pour le Picnic à la plage de Gouverneur proposé par l’hôtel, qui met à la disposition de ses clients une voiture électrique garnie pour l’occasion d’un panier d’osier comprenant un menu complet et des boissons, et d’un parasol indispensable pour affronter le soleil car la plage, qui compte parmi les plus belles de St Barth, ne propose qu’une petite zone ombragée, souvent très occupée par les locaux. Le prix à payer pour profiter de cette longue langue de sable blanc baignée par des eaux turquoise d’une limpidité réjouissante.

Les bungalows qui constituent le mode d’hébergement du Carl Gustaf sont construits en terrasses à flanc de colline, et offrent toutes la même vue sur le port – plus ou moins plongeante selon que l’on est installé en bas ou en haut, près du bâtiment principal. Il y a mieux encore : les trois suites créées sur le toit en lieu et place de l’ancienne suite royale, qui se partagent désormais les dimensions extraordinaires de celle-ci.

Sans surprise c’est de là que la vue est la plus panoramique, et c’est là aussi que les prestations sont les plus luxueuses, l’une d’entre elles disposant d’une piscine et une autre d’un jacuzzi. On peut apprécier sans réserve une villa au Cheval Blanc ou à l’Eden Rock, force est de reconnaître que vivre à la tombée de la nuit l’expérience d’un jacuzzi associant des bulles de champagne à celles de la balnéo, en contemplant Gustavia s’illuminer pour enfiler sa tenue de soirée, constitue un moment inoubliable dans une vie. Les plus exigeants – et les nostalgiques de l’ancien hôtel – peuvent même réunir les trois suites en une entité unique baptisée Loft Royal.

Comparativement, les terrasses des « simples » bungalows font inévitablement pâle figure, d’autant que leurs « piscines » sont en fait de minuscules bassins et que le poids des parasols rend ceux-ci peu manoeuvrables et le bronzage hasardeux. C’est dommage. Autre point regrettable : l’absence d’intimité sur ces terrasses, à la différence de ce qui se pratique aux Maldives, par exemple, où une installation en quinconce interdit de voir ce qui se passe sur la terrasse voisine.

En revanche les volumes desdits bungalows, qui comportent une chambre (ou deux), un salon et une salle de bain de belle taille, sont satisfaisants, tandis que, évoquant Arcachon et le Pilat, le bois blanc cassé de la décoration d’inspiration Atlantique apporte une fraîcheur appréciable.

EMMANUELLE CIPRIANI, GENERAL MANAGER : « UNE DESTINATION DANS LA DESTINATION »

Née dans l’hôtellerie, pour avoir fait ses classes à la SBM Monaco et à l’Hôtel du Castellet (Relais & Châteaux) puis travaillé dix ans à Saint Martin puis en Birmanie avant de se voirconfier la réouverture du Carl Gustaf, la General Manager Emmanuelle Cipriani connait aussi bien les grosses structures que les établissements de taille plus confidentielle. Elle s’émerveille de la façon dont l’agence parisienne Gilles et Boissier (Baccarat, Four Seasons, Mandarin Oriental…) a capté l’essence de l’établissement. « Il était très important de respecter une certaine déco pour conférer une certaine ambiance chic décontractée, et que le Carl Gustaf reste un hôtel ouvert à la clientèle locale, comme il l’a toujours été », précise-t-elle. Et de préciser : «Un endroit où l’on se sent aussi bien pour venir boire un verre au coucher du soleil que pour séjourner. On a voulu des chambres dans lesquelles on a misé sur les matériaux : bois, marbres italiens, cachemire des plaids, tapis de laine, produits organiques dans les mini-bars, et misé sur les détails, notamment avec une domotique très performante. » La caractéristique fondamentale du Carl Gustaf étant qu’il n’est pas en concurrence frontale avec les valeurs installées, il se démarque de façon naturelle : « Il est clair qu’il est plus spontané de faire la différence au Carl Gustaf, qui est le seul hôtel 5 étoiles de Gustavia et offre une vue exceptionnelle sur le port, alors que tous les autres sont des hôtels de plage : nous sommes en quelque sorte une destination dans la destination, avec un caractère vraiment particulier, précise encore Emmanuelle Cipriani. Mais il était très important aussi d’avoir un restaurant de plage parce que l’on reste dans les Caraïbes, et sans ce partenariat avec Shellona il nous aurait manqué une corde à notre arc ». Nous pouvons être rassurés : il ne lui en manque aucune, et le Carl Gustaf est définitivement un bijou dans un écrin étincelant.

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CARL GUSTAF : DOMINATING GUSTAVIA

THE IMAGE OF ST BARTHS IN THE WORLD

Perched on the hill overlooking Gustavia, the Carl Gustaf offers an unobstructed view of the red-roofed town, the harbour and, beyond, the ocean. It is the image of films, advertising brochures, geography books, and the one that people magazines from all over the world use to present St. Barth. Discovered from the hotel terraces, the capital looks like a model, clean and colourful – an image of Epinal. Even the guests of the other five-star hotels on the island can’t resist it, as since its renovation the hotel has a colonial-inspired terrace where they come to dine or simply have a drink, their eyes dazzled by the enchanting view.

Closed in 2013 and bought by the Barrière group two years later, the hotel then underwent a long in-depth renovation project, then faced the onslaught of Irma. Initially scheduled for December 2019, its reopening was postponed to March 2020, and thus finally coincided with the beginning of the Covid episode: there have been better circumstances for launching such a prestigious address. The French group (Fouquet’s in Paris and Courchevel, Normandy in Deauville…) has turned the original unusual establishment into a five-star hotel, mainly characterised by its breathtaking view, but not only. The only hotel among the island’s star establishments not to be located on a beach, it is also close to the town, and therefore to everything: bars, restaurants, shops, port, museum, historical monuments, nautical activities…

Among the key innovations brought about by the renovation, the opening of a large balcony on the main floor covering the entire floor is the most spectacular, as it adds to the character of the hotel and allows you to sit back and enjoy the view in a New Orleans style that smells of the American South.

However, choosing the Carl Gustaf ’s breathtaking view does not mean doing without a beach, let alone a beachside restaurant: the hotel has made an agreement with the Shellona, built on the beach of the same name, at the foot of the hill. You can reach it on foot in about ten minutes, or in three minutes by car, and you can taste a wide variety of fish, shellfish and meat in an atmosphere worthy of St Tropez. The icing on the cake: the island’s primary school is next door to the restaurant, and one can only dream for a moment when, leaving the restaurant after a good meal, one discovers the parents who have come to pick up their little ones on scooters or in small open 4x4s, dressed in light clothing and all expressing a clear camaraderie and good humour – the external signs of quality in an enviable Caribbean life.

One can vary the pleasures of the beach by opting for the Picnic at Gouverneur Beach offered by the hotel, which provides its guests with an electric car equipped for the occasion with a wicker basket including a full menu and drinks, and an umbrella essential to face the sun as the beach, which is among the most beautiful in St Barths, offers only a small shaded area, often very busy with the locals. This is the price to pay for enjoying this long strip of white sand bathed by crystal clear turquoise waters. The bungalows that make up the Carl Gustaf ’s accommodation are built on terraces on the hillside, and all offer the same view of the harbour – more or less plunging, depending on whether you’re sitting downstairs or upstairs, near the main building. Even better is one of the three rooftop suites created in place of the former Royal Suite, which now share the latter’s extraordinary dimensions. Unsurprisingly, this is where the views are most panoramic, and where the amenities are most luxurious, one with a swimming pool and another with a Jacuzzi. One can appreciate without reserve a villa at the Cheval Blanc or the Eden Rock, but one has to admit that to live the experience of a Jacuzzi at nightfall, combining champagne bubbles with those of the balneo, while contemplating Gustavia illuminated to put on one’s evening clothes, constitutes an unforgettable moment in one’s life. The most demanding – and those nostalgic for the old hotel – can even combine the three suites into a single entity called Loft Royal.

In comparison, the terraces of the “simple” bungalowsinevitably pale in comparison, especially since their “pools” are in fact tiny swimming pools and the weight of the parasols makes them difficult to manoeuvre and sunbathing hazardous. This is a pity. Another regrettable point is the lack of privacy on these terraces, unlike in the Maldives, for example, where a staggered installation means that you can’t see what’s happening on the neighbouring terrace. On the other hand, the volume of the bungalows, which have one bedroom (or two), a living room and a good-sized bathroom, is satisfactory, while the off-white wood of the Atlantic-inspired decoration, reminiscent of Arcachon and the Pilat, brings a welcome freshness.

EMMANUELLE CIPRIANI, GENERAL MANAGER: “A DESTINATION WITHIN A DESTINATION”

Born in the hotel business, having worked at SBM Monaco and the Hôtel du Castellet (Relais & Châteaux), then for ten years in Saint Martin and Burma before being entrusted with the reopening of the Carl Gustaf, General Manager Emmanuelle Cipriani knows both the large structures and the more confidential establishments. She marvels at the way in which the Parisian agency Gilles et Boissier (Baccarat, Four Seasons, Mandarin Oriental, etc.) has captured the essence of the establishment. “It was very important to respect a certain decor to give a certain casual chic atmosphere, and that the Carl Gustaf remain a hotel open to the local clientele, as it has always been,” she says. “A place where you feel just as comfortable coming to have a drink at sunset as you do staying. We wanted rooms in which we focused on materials: wood, Italian marble, cashmere plaids, wool carpets, organic products in the mini-bars, and we focused on the details, particularly with high-performance home automation.” The fundamental characteristic of the Carl Gustaf is that it does not compete head-on with the established values, so it stands out in a natural way: “It is clear that it is more spontaneous to make a difference at the Carl Gustaf, which is the only 5-star hotel in Gustavia and offers an exceptional view of the port, whereas all the others are beach hotels: we are a sort of destination within the destination, with a really special character,” Emmanuelle Cipriani adds. “But it was also very important to have a beach restaurant because we remain in the Caribbean, and without this partnership with Shellona we would have been missing a string to our bow”. We can be reassured that he is not missing a string to his bow, and the Carl Gustaf is definitely a jewel in a glittering case.